blanc

Le blanc qui viendrait effriter la matière (du visage, de la peau) comme si tout à coup une image passait dans une autre

en dessinait les futurs contours, sans oublier le souvenir d’avant (j’avais d’abord écrit le souvenir d’enfance)  ;

la beauté qui s’appuie désormais sur une  absence, blanc fertile, blanc mental

C’est un idéal rêvé, difficile, car c’est plutôt le noir qui m’occupe depuis quelques années, plus fort que tout, plus fort que moi

J’ai pourtant pensé très fort au verre de lait de Hitchcock, mais aucun motif aussi direct ne m’est tombé dessus,

Je ne perds pas confiance, le noir est une attente

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