Il regarde la télévision et choisit les pires choses qui soient, laisse les programmes défiler en se sentant à la fois pris par la bêtise qui triomphe mais néanmoins distancié. Lorsqu’il est épuisé et que le film arrive en fin de course, il éteint la machine, se précipite dans sa bibliothèque et saisit un livre de La Bruyère ou la Bible.

Est-ce assez ?


Ce que j'ai retenu de La Bruyère vers 1h30 du matin : "Amas d'épithètes, mauvaises louanges ; ce sont les faits qui louent, et la manière de les raconter". (On croirait lire Valéry.)

Oui c'est bien suffisant

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