Dans ce roman, la part consacrée au réel me fait du bien et la mention de la moindre chose inutile à la compréhension générale de l'histoire me ravit, mais dès que celle-ci reprend sa route, je m'ennuie. J'ai l'impression d'être un chien (tout petit chien) tenu en laisse.

Le bermuda, porté très court cet été. Il en sort des jambes infiniment longues qui terminent leur voyage dans des chaussures à talons hauts. On entend presque la godasse dire aux guibolles : "Vous n'irez pas plus loin mes coquines."

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