il n'y a pas rien après


  

Parfois l’impression de redite. Déjà vu mieux avant. En fait, non. Ça continue. Ça prend. Ça force à ouvrir l’œil, quitte à se faire mal. Au fond, les motifs ne varient guère. Mais qu’importe. Il y a trois ou quatre figures que je poursuis depuis toujours.  Pas tellement plus. Certaines ont trouvé leur terme. D’autres continuent à me hanter. Et petit à petit, je me rapproche. Ça chauffe. Ça crispe ce que ça touche. Comme un nerf qui lâche. Un ballon qui éclate.  Il n’y a pas rien après.




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